L’intelligence artificielle et le monde des humains

L’histoire du monde a été marquée ces deux derniers siècles par un développement fulgurant de la science dans toutes ses disciplines. Il demeure toutefois des quêtes non encore réalisées, dont celle de l’intelligence artificielle. Cette discipline s’attèle à la création de machines dotées de certaines facultés intrinsèques à l’homme comme le raisonnement, la perception des langages naturels, etc. Quel serait l’impact de telles inventions ? Quels en sont les inconvénients.

Qu’est-ce que l’intelligence artificielle?

Il s’agit de « la science et l’ingénierie de la fabrication des machines intelligentes, en particulier des programmes informatiques intelligents » d’après le père de l’intelligence artificielle John McCarthy.

Elle consiste à concevoir des machines capables de penser. C’est l’intelligence des machines.

L’idée de créer une intelligence artificielle est de faciliter la vie des humains. Les chercheurs en intelligence artificielle veulent apporter le quotidien émotionnel aux machines en même temps que l’intelligence en générale.

Deux types d’Intelligence Artificielle

L’intelligence artificielle est la science dont le but est de  faire par une machine des taches que l’homme accomplit en utilisant son intelligence. Permettre à une machine d’exécuter ces fonctions normalement associées à l’intelligence humaine : l’apprentissage,…c’est un rêve ambitieux de beaucoup de chercheurs mais pour le moment les scientifiques ne savent toujours pas avec certitude comment fonctionne le cerveau d’un être humain.

On regroupe les robots en deux catégories suivant ce qu’ils sont capables de faire. Il y a donc deux « types d’intelligence artificielle » : L’Intelligence Artificielle faible et l’Intelligence Artificielle forte.

        Intelligence Artificielle Faible

    L’Intelligence Artificielle Faible est utilisé dans des tâches simples. C’est une intelligence assez limitée par ses fonctions car elle ne fonctionne qu’avec une succession d’algorithme programmé par des humains pour simuler une intelligence. Le robot n’a aucune indépendance car cette simulation d’intelligence est généralement assistée par les hommes même s’ils essayent de construire des systèmes autonomes de plus en plus complexes. Alan Turing mit en place un test en 1950 pour imiter une conversation humaine, il simule donc une forme d’intelligence dans son test qui semble agir comme si il était intelligent. Le principe de ce test est simple : un humain aux yeux bandés est confronté à un ordinateur et à un autre humain, il tient une conversation (sur des sujets limités) et s’il n’arrive pas à savoir qui est l’ordinateur entre les deux le test est réussi. Ce test n’est tout de même pas très concluent car il ne s’agit pas d’une réflexion de la part du robot. Il reconnaît les questions et les ordres et répond par des réponses bateau lorsqu’il s’agit d’une invitation à une réflexion de la part de l’interlocuteur. L’ordinateur ne fait pas preuve d’une compréhension du sens, il se contente d’imiter grossièrement le comportement humain face à un autre humain lors d’un dialogue. Ce test est encore d’actualité avec le Prix Loebner (compétition qui couronne les agents conversationnels les plus satisfaisants). Aujourd’hui le principe de Turing a évolué et il y a des programmes de conversations plus complexes comme celui nommé ELIZA.

Intelligence Artificielle Forte

    L’Intelligence Artificielle Forte, qui est encore une idée futuriste, se base sur l’analyse d’une situation concrète (algorithme évolutionniste, système de neurone). Elle est à la recherche d’une réelle autonomie ; pour les chercheurs, le robot possédant une IA forte serait doté d’une réelle conscience et éprouverait des sentiments. De plus, son raisonnement doit se rapprocher de celui de l’être humain. Mais pour l’instant un robot n’a jamais pu ressentir le moindre sentiment, c’est le rêve ambitieux de beaucoup de chercheurs d’arriver à ce stade. Mais ce projet évoque, pour d’autres chercheurs scientifiques, de nombreuses questions et problèmes dû à l’invention d’une intelligence semblable à la nôtre.

Advaxe Ndayisenga is a Burundian senior Web and Software Developer with a Bachelor's degree in Computer Science from East African Leadership Institute. With over five years of experience in web and software development, he specializes in WordPress, Prestashop, social media marketing, and SEO audits. He is the Director and Business Development Manager at LA TECH BURUNDI COMPANY, where he also works as a Fullstack Developer. Additionally, he serves as a Fullstack Developer at Media Box Burundi S.A, where he focuses on developing software for government and NGO clients. A seasoned Networking Manager and social media marketing specialist, he contributes to the field as a trainer, speaker, and event organizer at Students for Liberty as a Local Coordinator, and as a representative for Great Lakes Marketing and Communication (MARCOM). As a UPG Sustainability Legacy Ambassador, he graduated as a UPG Leader in 2022 and a UPG Biashara Entrepreneur in 2023, actively promoting liberty, love, and sustainability within the community. He continues his education at Atlas Network Academy, Lurn, and FutureLearn, where he has developed strong skills in managing emotions, fear, and leading projects effectively. He has enhanced his expertise through various platforms including Developpez.com, SoloLearn, OpenClassrooms, Microverse, and British Council, gaining valuable experience in group work, time management, online course facilitation, and creating creative and responsive web content. Fluent in Kirundi (mother tongue), English, French, and Kiswahili, he brings a multilingual perspective to his work

Laisser un commentaire